On a retrouvé Annick et Émilie quelques jours après leur formation à la facilitation graphique. Deux profils très différents, deux retours d’expérience qui se complètent bien et surtout une envie commune : continuer à dessiner, même sans se dire “bon en dessin”.
L’après-formation, très concret
Annick, qui forme elle-même des professionnel·les, a déjà intégré des visuels créés pendant la formation dans ses PowerPoint. “Je cadre, j’ombrage, j’ajoute mes pages dessinées… Je laisse une trace, j’en suis fière.” Tout est dit.
Émilie a testé dès le retour au bureau. Avec sa collègue, elles prennent les notes d’une réunion sous forme visuelle. Leur manager est bluffé. “Je pense qu’on va devoir faire ça à chaque fois maintenant.” Et ça ne s’arrête pas là : chez elle, Émilie a aussi réalisé un planning visuel pour aider son fils à suivre une nouvelle routine. “Ça a bien marché.”
Ce qu’on apprend (vraiment)
Quand on parle de facilitation graphique, beaucoup imaginent qu’il faut savoir dessiner. En réalité, c’est surtout une autre manière de structurer l’information. On apprend à poser les idées au bon endroit, à utiliser quelques pictos simples, et à créer des supports qui donnent envie d’être lus.
Ce que montre le témoignage d’Annick et Émilie, c’est que c’est que les outils vus en formation sont réutilisés dans la vie de tous les jours, au bureau comme à la maison. Que ce soit pour animer une réunion, clarifier une idée ou faire passer un message à ses enfants, ce langage visuel trouve vite sa place.
Et si c’était pour vous aussi ?
Ce qui compte, c’est d’avoir envie de rendre les échanges plus clairs, plus humains, plus mémorables. 👉 Pour rejoindre la prochaine session c’est par ici !