On croit parfois avoir les bons outils pour faire émerger les besoins du groupe… jusqu’à ce qu’on découvre un outil plus simple, plus visuel, et plus puissant. Sofia, formatrice expérimentée, partage ici comment ECHO, notre icebreaker visuel et inclusif, a changé sa manière d’animer ses formations. Et si vous souhaitez tester l’outil, on vous invite à en discuter avec nous lors de notre webinaire gratuit le 20 mai 2025.
C’est quoi ECHO ?
ECHO est un icebreaker visuel et inclusif pour recueillir les besoins de votre groupe dès le début d’un atelier, d’une formation ou d’une réunion.
- Un jeu simple, composé de cartes illustrées et de petits cubes colorés
- Pensé pour faciliter l’expression de tous et toutes, même les plus réservés
- Un outil qui favorise un climat de confiance, de sécurité et d’écoute
La découverte d’ECHO
Sofia Garcia est formatrice et consultante au sein d’une coopérative d’entrepreneur·es. Elle accompagne des publics très variés : de jeunes en situation de décrochage à des cadres en reconversion. Elle crée aussi des serious games autour de la diversité, du handicap et de l’inclusion.
Elle connaît bien les dynamiques de groupe et les temps collectifs. Elle pensait avoir déjà un bon cadre pour faire émerger les besoins de chacun·e. Jusqu’au jour où elle a découvert ECHO.
On m’a parlé d’ECHO avec enthousiasme alors que j’intervenais pour un collectif d’entrepreneurs. Avant de l’utiliser en formation, j’ai voulu tester… à la maison, autour d’un barbecue ! Et là, surprise : même mon petit-fils de 7 ans a pu exprimer des choses qu’il n’aurait jamais dites autrement.”
Ce qui fait la différence
Sofia a ensuite utilisé ECHO dans un contexte professionnel : une école de décrochage scolaire. Et là encore, l’impact a été immédiat.
Ça a libéré la parole comme jamais. Même moi, je découvrais des besoins non exprimés jusque-là.
Ce qu’elle a particulièrement apprécié :
- Le jeu comme point d’entrée : les cartes permettent une expression indirecte, plus confortable pour celles et ceux qui ne trouvent pas facilement leurs mots
- Le visuel et la couleur : chaque personne s’identifie à une couleur. Les cubes posés montrent “les échos” entre les membres du groupe
- L’accessibilité : pour chaque carte, un texte au second degré et un texte littéral coexistent. Cette double entrée permet à chacun·e de comprendre à son rythme
C’est très rare d’avoir un jeu aussi accessible. Et c’est exactement ce que je cherche dans mes outils : qu’ils puissent convenir à toutes et tous.
Ce que ça change concrètement
Sofia a animé une session avec des jeunes porteurs de troubles DYS, TDAH ou d’anxiété. Elle les connaît bien, les suit depuis des mois. Et pourtant, ce jour-là, elle découvre des besoins qu’ils n’avaient jamais exprimés, ni à elle, ni aux autres.
On garde encore l’affiche de ce jour-là comme référence dans la salle.
Elle enchaîne ensuite avec d’autres usages :
- un groupe de reconversion professionnelle (futurs référents handicap)
- une journée d’intervention à Laval pour aider une équipe à se (re)découvrir
- une directrice d’école qui décide d’adopter le jeu pour instaurer un climat de sécurité psychologique…
Pour qui c'est utile ?
Tous ceux et toutes celles qui animent des temps collectifs, qui accueillent des publics divers sans toujours en avoir conscience. On oublie souvent que 80 % des handicaps sont invisibles
On est tout à fait en phase avec Sofia, et on ajouterai qu’ECHO est utile à tout le monde parce que :
- Les besoins existent partout
- On les exprime peu
- Nos groupes, nos classes, nos équipes sont traversés par des réalités diverses
- Un cadre d’expression clair, bienveillant, non intrusif… ça change tout
👉 Parlons-en lors de notre webinaire gratuit
Vous animez des groupes, des formations, des ateliers ? Vous avez envie d’un cadre plus humain, juste, plus sensible pour démarrer vos temps collectifs ? ECHO pourrait bien vous parler.
📅 Venez en discuter avec nous, on organise un webinaire gratuit le 20 mai à 12h30 sur le thème :
« Comment récolter les besoins de votre groupe autrement ? »
On y présentera ECHO, bien sûr, mais aussi notre approche de la libération de la parole dans les temps collectifs, les pièges classiques, et des retours d’expériences concrets.